Meilleurs vœux !
L’équipe d’Affaires à suivre fait une pause
du 25 décembre 2025 au 4 janvier 2026 inclus
Nous vous souhaitons de joyeuses fêtes de fin d’année
et une excellente année 2026 !
OUI, si vous êtes souhaitez vendre votre entreprise exploitée en personne physique ou en société, vous êtes au bon endroit.
Vous pouvez également demander à un professionnel de gérer pour vous la mise en ligne et les contacts avec les repreneurs.
En cas de doute, vous pouvez consulter la liste des secteurs et sous-secteurs et leurs critères d’accès ou nous contacter.
OUI. « Affaires à suivre » se réserve le droit de ne pas diffuser ou de suspendre la diffusion du compte d’utilisateur et/ou des annonces qui :
OUI, si vous êtes
OU si vous êtes un conseiller habilité, dans l’exercice de votre profession, à agir au nom et pour compte du vendeur et à lui prodiguer des conseils et que votre profession l’y autorise :
En cas de doute, vous pouvez nous contacter.
Sont exclus : les entreprises (immobilier et société) sans activité économique. Ex : ce qu’on appelle communément les coquilles vides, les ventes d’immeuble sans activité (un bail ne suffit pas à être reconnu comme une activité), de manière plus générale, les annonces de ventes d’entreprises sans transmission d’activité. Ces cessions ne font pas partie de la mission de WE et de son site Affaires à suivre.
Les sociétés sans activité avec des pertes fiscales ont perdu aussi de leur intérêt pour les repreneurs.
En cas de prise ou de changement, au cours de la période imposable, du contrôle d’une société, qui ne répond pas à des besoins légitimes de caractère financier ou économique, ces pertes fiscales ne sont pas déductibles des bénéfices de cette période, ni d’aucune autre période imposable ultérieure.
WE vous propose d’autres solutions. Prenez contact avec elle.
Nous acceptons sur notre site toutes les cessions d’entreprises relevant du secteur Horeca quel que soit leur chiffres d’affaires : Hôtel, restaurant, café, brasserie, gîte, camping, snack, traiteur, petite restauration,…
Nous acceptons sur notre site toutes les cessions d’entreprises relevant du secteur du commerce de détail quel que soit leur chiffre d’affaires : alimentaire ou non alimentaire, e-commerce.
Nous acceptons sur notre site toutes les cessions d’entreprises relevant du secteur des services quel que soit leur chiffre d’affaires : professions libérales, services à la personne, services immobiliers, blanchisserie, services liés au sport, voyage et détente.
Nous acceptons sur notre site autant les franchiseurs que les franchisés quel que soit leur chiffres d’affaires pour la transmission d’un point de vente portant l’enseigne de la Franchise.
Les entreprises qui ne rentrent pas dans les autres secteurs et qui ont un chiffres d’affaires inférieur à 500.000 peuvent déposer une annonce sur le site. Il s’agit des secteurs :
Horticulture et autres cultures, commerce de gros, construction, fabrication et industrie, marketing, communication, graphisme et publicité, automobiles : entretien et réparations (Pour les annonces, la vente de véhicules et accessoires se trouve dans le secteur Commerce de détail).
OU
Les factures sont toujours envoyées par notre service comptabilité au début du mois qui suit celui de votre paiement (ex : vous avez payé pour une publication le 06 mai, vous recevrez une facture début juin).
Le cas échéant, le paiement s’effectue par virement bancaire sur base d’un avis de paiement qui vous est envoyé par mail.
Si votre paiement nous est parvenu avant la fin de la période de publication en cours, elle prend effet
le 1er jour suivant la période de publication en cours.
Si votre paiement nous est parvenu après la fin de la période de publication en cours, elle prend effet le 1er jour ouvrable qui suit la réception de votre paiement.
Non. Par contre si vous souhaitez entrer en contact avec le placeur, vous devrez alors vous enregistrer.
C’est totalement gratuit, tout comme entrer en contact avec les placeurs. De plus sachez que Affaires à suivre ne perçoit aucune commission à l’achat.
Pour entrer en contact avec le placeur de l’annonce, vous devez d’abord vous enregistrer en créant un compte.
Une fois votre compte créé, vous vous y connecter et pouvez faire une demande d’informations via le cadre en dessous de l’annonce.
Soyez concis, indiquez pourquoi cette annonce vous a intéressée, écrivez quelques mots sur votre parcours, sur vos motivations.
Restez délicat dans vos questions éventuelles, pensez que pour celui qui vend, c’est parfois son bébé, l’histoire de sa vie.
Si après une semaine d’attente, vous n’avez pas eu de réponse de la part du placeur, vous pouvez envoyer un mail à info@affairesasuivre.be pour nous le signaler. En période de congés, le délai peut parfois s’avérer plus long.
Il suffit de vous inscrire en choisissant le profil auquel vous appartenez : acquéreur, cédant ou conseiller et ensuite compléter le formulaire.
En fonction de votre profil (acquéreur/cédant/conseiller), vous devrez fournir plus ou moins d’informations telles vos coordonnées personnelles, le cas échéant celles de votre entreprise (n° d’entreprise, adresse,…) et quelques informations destinées à nos statistiques.
Les coordonnées que vous nous transmettez sont utilisées exclusivement à des fins de gestion interne du site et de statistiques, en aucun cas elles ne seront publiées sur le site. Vous conservez donc l’anonymat.
OUI, 15 jours avant la fin de la période de publication, vous recevrez un e-mail de la plateforme vous invitant, le cas échéant, à effectuer un virement si vous souhaitez prolonger la publication. Dès réception de votre paiement, la publication sera prolongée de 3 mois (Comptez quelques jours pour que votre paiement nous arrive). Vous recevrez ensuite une facture au début du mois qui suit celui de votre paiement
Non, le service AAS est amené à valider votre annonce : vérification des conditions d’éligibilité. Cette vérification prend 1 ou 2 jours ouvrables maximum.
Connectez-vous via votre compte et effectuer les modifications utiles.
Enregistrez ensuite ces modifications. Avant d'être publiées, elles devront être validées par l'équipe Affaires à suivre qui les mettra ensuite elle-même en ligne.
L’équipe d’Affaires à suivre pourrait néanmoins vous contacter si une modification n’était pas correspondante aux critères du site ou pour vous conseiller un éventuel autre contenu.
OUI, dans ce cas si vous êtes cédant ou conseiller non agréé WE, la prolongation sera payante. Si vous êtes expert agréé, il suffit de nous faire part de votre volonté de prolongation via le mail qui vous est envoyé à ce sujet.
Soit vous disposez encore du mail qui vous a été envoyé et vous faites le virement même après la date de fin de publication. Dès réception de votre paiement, nous procéderons à la remise en ligne de votre annonce.
Soit vous ne disposez plus de ce mail, dans ce cas vous nous appelez au +32 (0)4 237 07 70 (demandez à parler à un conseiller Affaires à Suivre) ou de préférence envoyez un mail à info@affairesasuivre.be en nous demandant la prolongation. Nous vous enverrons un avis de paiement et dès réception de votre paiement, nous procéderons à la remise en ligne de votre annonce.
Non, il est inutile de réécrire votre annonce, même dépubliée, elle reste accessible via votre compte. Et si vous avez des modifications – mises à jour à y apporter, vous pouvez les effectuer.
Vous pouvez rester complètement anonyme dans le contenu de votre annonce, la plateforme prévoit en effet un système de demande d’informations où le repreneur vous envoie un message sans connaître vos coordonnées. Si vous souhaitez néanmoins publier vos coordonnées, vous pouvez bien entendu le faire. C’est vous qui déterminez le niveau de discrétion et de confidentialité de votre cession.
Donnez envie aux repreneurs potentiels avec
Si un acquéreur est intéressé par vote entreprise, il peut faire une demande d’information via la plateforme (cadre en-dessous de votre annonce)
Vous pouvez répondre via la plateforme.
Après une demande d’information, le repreneur potentiel s’attend à une réponse de votre part. Veillez à lui donner satisfaction même si c’est pour lui signaler qu’il ne vous semble pas être le candidat idéal ou que votre entreprise est déjà vendue entretemps, ou simplement que vous lui reviendrez dans les jours qui suivent.
Gardez un délai raisonnable pour répondre !
S’il est en société, vous pouvez déjà consulter (ou demander à votre comptable de le faire) ses comptes sur le site de la Banque Nationale Belge (BNB). Attention que cela ne vous donnera pas l’image la plus récente de l’entreprise mais déjà une idée. La Banque Carrefour des Entreprises (BCE) peut aussi vous fournir d’autres informations sur un acquéreur pour autant qu’il dispose d’un n° d’entreprise. Si c’est un particulier sans n° d’entreprise, vous ne trouverez pas d’infos sur ces sites officiels.
N’hésitez pas à poser des questions à l’acquéreur potentiel vous permettant d’apprécier son sérieux, ses compétences, ses motivations, et si le degré de confiance, est suffisant entre vous, sa capacité financière.
Faites éventuellement une petite recherche internet pour en savoir plus.
Oui, au moyen du bouton « Désactiver » mon annonce.
Vous serez invité à donner la raison de la désactivation. Merci de bien vouloir, si possible y répondre.
Non, aucune commission n’est due. Les seuls frais à votre charge sont ceux d’une publication éventuelle après la période de publication gratuite.
Par contre, n’hésitez pas à nous le faire savoir, cela est utile aux statistiques du site. D’ailleurs quand vous désactivez votre annonce, vous recevez un mail vous invitant à nous dire pour quelle raison vous l’avez désactivée.
Ce type de cession n’est possible que lorsque l’entreprise est exploitée en société, pas en personne physique.
Dans ce cas, le vendeur est l’actionnaire. Il vend ses actions. Pour la société d’exploitation, cela signifie en principe la continuité.
Cette cession concerne la vente d’actifs. Le vendeur est l’entreprise d’exploitation elle-même.
Ce type de cession peut s’appliquer à une entreprise exploitée en personne physique ou en société.
Dans le cas d’une exploitation en personne physique, seule une cession du fonds de commerce est possible.
Dans le cas d’une exploitation en société, si l’associé ne vend pas ses actions, il peut décider de vendre des actifs ou une des activités de l'entreprise, on parle alors de cession d'actifs, de fonds de commerce ou de branche d'activité.
Vous trouverez plus d’informations à ce sujet : FAQ FDC
Il existe des différences au niveau de la continuité de l’entreprise, du financement de la reprise, de la fiscalité des vendeurs et repreneurs.
Vous trouverez plus d’informations à ce sujet sur la page ressources utiles
OUI, si votre entreprise est en société, une vente des actions ou du fonds de commerce sont possibles. Dans ce cas, l’actionnaire peut vendre ses actions ou décider de vendre des actifs ou une branche d’activité de l’entreprise, dans cas, on parle de vente de fonds de commerce.
NON, si vous exercez votre activité en personne physique. Dans ce cas, seule la vente du fonds de commerce est possible.
Il n’y a pas de durée type, cela peut prendre quelques années ou quelques mois. Cela dépendra du degré de préparation du vendeur et du repreneur, de la manière dont se passent les négociations. N’hésitez pas à vous faire accompagner par des experts en transmission pour fluidifier le processus de part et d’autre.
Il existe de nombreuses méthodes de valorisation (basées sur la valeur patrimoniale, les rendements, …) qui permettent d’avoir une base de négociation avec le cédant. Le prix de reprise ne doit pas mettre à mal la rentabilité de l’entreprise. Il faudra en effet dégager suffisamment de bénéfices pour rembourser le(s) prêt(s) contracté(s) dans le cadre du rachat du fonds de commerce ou des actions et d’éventuels investissements. Les professionnels du chiffre (experts-comptables, comptables-fiscalistes, réviseurs d’entreprises) pourront vous aider à estimer la valeur de l’entreprise à reprendre.
Une reprise se finance traditionnellement par des fonds propres et du crédit bancaire.
A ce crédit bancaire peuvent s’ajouter par exemple un crédit vendeur, un crédit d’organismes publics.
Dans chacune des régions, vous trouverez de l’aide au financement (lien vers Wallonie Entreprendre et finance.brussels ). Vous trouverez plus d’informations à ce sujet sur la page ressources utiles
Les fonds propres sont vos moyens financiers réellement disponibles. Il ne s’agit donc pas de biens mobiliers ou immobiliers que vous mettriez en garantie mais d’avoirs liquides ou facilement et rapidement vendables pour en obtenir des liquidités. Par exemple, un immeuble peut être mis en garantie mais tant qu’il n’est pas vendu, il ne constitue pas des fonds propres.
De 10 % à 30 % de l’investissement total. Le montant dépend notamment du niveau de risque lié au projet et à la personne qui le porte.
Notre conseil : gardez toujours quelques réserves de côté, que ce soit pour votre privé ou pour les besoins et éventuels imprévus de votre entreprise.
Pour 3 raisons :
Vous devez fournir à la banque tous les arguments lui permettant de croire en votre projet. Voici quelques conseils :
Présentez-vous ainsi que les raisons qui ont motivé le choix de cette entreprise.
Préparez un dossier avec des chiffres et un bref historique de l’entreprise que vous reprenez.
Suivant le projet (actions ou fonds de commerce, investissements à prévoir ou non), le principe du financement peut être différent.
En fonction, expliquez les investissements à réaliser et présentez des devis ou (projet) de contrat si vous en disposez. Pensez aussi à une éventuelle Tva à préfinancer sur des investissements ou autres en attendant une probable récupération dans les mois qui suivent…
Prévoyez un peu de marge de manœuvre pour les éventuelles surprises ou une croissance exceptionnelle inattendue. Vous trouverez plus d’informations à ce sujet sur la page ressources utiles
Rédigez, seul ou accompagné, un plan financier complet et réaliste.
Ce document contient notamment les postes à financer et comment ils le seront, un compte de résultats prévisionnel qui permet de démontrer la capacité de remboursement de l’entreprise vis-à-vis d’éventuels organismes prêteurs (la banque par exemple). Il est également recommandé d’inclure dans le plan financier un tableau de trésorerie, qui permettra de visualiser les flux de trésorerie mois après mois lors de la première année d’activité.
Ce document de travail est incontournable. Faites-vous aider par un conseiller si vous ne savez pas comment le réaliser.
Il vous sera aussi utile pour comparer la réalité des résultats à vos prévisions.
Remarque : un plan financier doit également être déposé auprès du notaire en cas de constitution de société. Sachez qu’il engage la responsabilité des fondateurs de la société.
Pour exercer une activité en tant qu’indépendant, il est impératif de disposer des connaissances de gestion de base pour obtenir votre numéro d’entreprise. Pour certaines activités, un accès à la profession est nécessaire. Vérifiez si vous disposez bien de ces accès et obtenez votre numéro d’entreprise auprès d’un Guichet d’entreprise.
Ci-dessous, vous trouverez quelques points importants mais non exhaustifs. Vous ne vous sentez pas à l’aise avec ces démarches, n’hésitez pas à vous faire accompagner de manière à réaliser cette opération en toute sérénité.
Lorsque vous reprenez un fonds de commerce, ces documents sont essentiels :
Lorsque vous reprenez un fonds de commerce, vous êtes considéré comme solidaire des dettes fiscales et/ou sociales du cédant. Si vous n’avez pas exigé ces attestations du cédant, cela signifie qu’en plus du prix que vous aurez déjà payé au cédant et à hauteur maximale de ce prix, l’administration est en droit de s’adresser à vous pour obtenir le paiement de ces dettes fiscales et sociales. Mieux vaut éviter ce risque important, d’autant que vous n’en aurez certainement pas prévu le financement, ce qui pourrait mettre rapidement votre entreprise en péril !
Exigez ces attestations auprès du cédant et inscrivez la clause d’obtention de celles-ci comme condition suspensive dans la convention de cession et/ou prévoyez un règlement précis du paiement de la reprise en cas de non délivrance de ces certificats.
Le cédant doit faire la demande auprès de l’administration des Contributions, de la TVA, l’ONSS, ainsi que les Caisses d’assurances sociales.
Le délai pour recevoir les certificats est de 30 jours suivant la demande officielle. Sauf s'ils sont refusés pour certaines raisons comme la présence de dettes fiscales ou sociales, ils ne sont valables que dans les 30 jours de leur date de délivrance.
En principe, c’est le cédant qui doit alors informer (notifier) les 4 administrations de la cession du fonds de commerce en leur envoyant (par prudence par recommandé) une copie certifiée conforme de la cession accompagnée du certificat la concernant. Mais le repreneur peut décider d’effectuer la démarche s’il veut s’assurer qu’elle soit bien accomplie.
Ces certificats restent valables pendant 30 jours. La notification doit donc intervenir endéans ces 30 jours. Attention donc qu’au jour de la cession, les 4 devront toujours être tous valables. Cela signifie qu’étant délivrés par divers organismes, leur date de fin de validité ne seront sans doute pas toutes identiques. Parfois, il sera nécessaire de renouveler la demande pour l’un ou l’autre.
Dans cas de figure, le repreneur peut payer le prix d’acquisition sans courir le risque d’être sollicité par les administrations concernées pour les dettes fiscales et sociales du cédant.
Attention : le cessionnaire (acquéreur) doit conserver une copie des documents envoyés et la preuve de l’envoi recommandé. Ces documents seront demandés par les organismes de financement dans le cadre des prêts qu’ils accordent.
3 solutions :
Il est important également de s’assurer que le fonds de commerce n’est pas grevé par un gage au bénéfice d’une banque. L’acquéreur devra demander au cédant de lui fournir une attestation via le bureau de sécurité juridique (Anciennement bureau de hypothèques) du lieu où se trouve l’activité afin de vérifier qu’il n’y a pas de gage inscrit.
Si le fonds de commerce est gagé, la banque du repreneur ne pourra pas à son tour le prendre en gage, ce qui la privera d’une garantie potentielle et risque de compliquer l’obtention des crédits.
Quant à la banque du cédant, elle acceptera de lever le gage sur le fonds de commerce à condition d’obtenir le remboursement des crédits garantis par ce gage. En tant que cédant, parlez de votre projet à votre banquier pour vous assurer d’avoir bien pris en compte, le cas échéant, tous les éléments dont les soldes de crédits encore à rembourser et indemnités éventuelles de remploi (voir lexique).
Même si elle n’est pas légalement obligatoire, la convention est vivement conseillée. Chacune des parties dispose avec ce document d’une trace écrite des accords pris entre cédant et repreneur. Sa rédaction reste une étape complexe qu’il vaut mieux confier à un spécialiste (par exemple juriste ou notaire, …). Cela réduira le risque de malentendus ou de surprises.
Elle peut notamment contenir les éléments suivants :
D’autres documents juridiques pourront éventuellement être rédigés durant le processus de transmission : convention de confidentialité, lettre d’intention, etc…
Pour tous ces différents actes légaux dans le cadre de la reprise d’un fonds de commerce, Il est vivement conseillé de faire appel à un juriste ou à tout le moins un spécialiste.
Elle peut l’être. Cela se fait auprès du bureau Sécurité juridique. Il faudra payer un droit d’enregistrement. L’avantage est que la convention devient « opposable » aux tiers, cela signifie que même ceux qui ne l’ont pas signée doivent la respecter.
Attention, les contenus ou dates quant au bail, cessions de bail, demandes ou notifications officielles, contrats commerciaux divers s'imposent tout de même aux (candidats)-repreneurs...
Une universalité de biens s’entend comme l’ensemble des éléments corporels et/ou incorporels qui constituent une entreprise ou une partie de celle-ci et qui de ce fait lui permettent de continuer l’activité économique de manière tout à fait autonome.
C’est le cas normalement de la cession de fonds de commerce ou d’une branche d’activité.
Suivant le principe que le repreneur est censé continuer la personne du cédant, cette cession peut se faire sans application des 21 % de TVA (Code Tva, Articles 11 et 18, §3).
Nous vous conseillons néanmoins de bien analyser ce point avec votre conseiller et ce que vous soyez cédant ou repreneur.
Si l’immeuble dans lequel se trouve l’activité vous est vendu, il devra faire l’objet d’un acte notarié séparé.
La cession du fonds de commerce inclut le droit au bail commercial.
Le propriétaire ne pourra s’opposer à sa transmission que dans certains cas prévus par la loi.
Les droits et obligations vis-à-vis du bailleur restent identiques pour le nouvel exploitant.
Le cédant, quant à lui, doit notifier le projet de cession à son propriétaire.
En tant que repreneur faites attention à la durée restante du bail, il faut vous assurer un certain nombre d’années d’exploitation possible. Les banquiers sont d’ailleurs, eux aussi attentifs à ce point pour la durée des crédits octroyés. Si nécessaire pensez à prolonger le bail en cours, réaliser un avenant au bail existant ou rédiger un nouveau contrat de bail.
Remarque : en tant que repreneur, vous devrez remplacer la garantie locative du cédant par une nouvelle au nom de votre entreprise.
Vérifiez, cédant et repreneur, si vous devez effectuer des démarches ou formalités liées à la transmission (du point de vue urbanisme, environnement, sécurité notamment pour des activités ou des marchandises soumises à autorisation, …) auprès de la commune où se situe l’entreprise ou auprès des autorités compétentes.
Se faire connaître est de toutes façons une démarche positive dans le cadre d’une exploitation économique de quelque nature qu’elle soit.
Il est bien d’accompagner les cédants et repreneurs dans une, plusieurs ou toutes les étapes de l’opération de transmission, en fonction des besoins de leur client.
Ce dernier (votre comptable, expert-comptable, un cabinet spécialisé, …) peut bien sûr vous accompagner si la transmission n’a aucun secret pour lui. Il peut aussi dans ce cas gérer pour vous la mise en ligne de votre annonce et gérer les relations avec les acheteurs potentiels.
Si vous n’avez pas de conseiller ou que ce dernier ne peut vous accompagner dans la vente de votre entreprise, n’hésitez pas à consulter la base de données d'experts ou à contacter WE qui travaille avec un réseau d'experts privés agréés spécialisés en transmission d’entreprises. Affaires à suivre s’appuie également sur ces experts pour vous fournir des conseils et vous aider dans vos démarches.
Les Régions wallonne et bruxelloise bien conscientes, d’une part de l’importance de la reprise comme option pour un entrepreneur dans le démarrage d’une activité économique, et d’autre part de l’importance de réaliser une transmission dans de bonnes conditions autant pour le cédant que pour le repreneur ont mis en place des subsides – sous certaines conditions d’éligibilité - destinés à se faire accompagner par des conseillers spécialisés moyennant un coût allégé pour le client mais rémunérant justement le spécialiste. Subsides Région Wallonne et Région Bruxelloise
Ce sont des professionnels du secteur privé. Les experts agréés possèdent un label de qualité : l’agrément officiel qui confirme leur expertise et le respect de la Charte Éthique WE. Ce sont des cabinets de cession-acquisition, réviseurs, experts-comptables, juristes, banquiers, consultants.
Le site Affaires à suivre est aussi à disposition des conseillers actifs dans la transmission d’entreprises qui voudraient y placer une annonce pour un ou plusieurs de leurs clients. Vous trouverez toutes les infos sur les conditions d’accès et tarifs dans la FAQ Conditions d’accès. N’hésitez pas aussi à nous contacter par téléphone ou mail.
Envoyez un mail cession-acquisition@wallonie-entreprendre.be, vous serez recontacté par notre équipe.
Envoyez un mail cession-acquisition@wallonie-entreprendre.be, vous serez recontacté par notre équipe.
Contacter d’abord nos services pour établir une convention.
Ensuite vous pourrez vous enregistrer sur le site dans la catégorie Conseiller / partenaire institutionnel ou mandataire de justice et placer un ou plusieurs annonces.
WALLONIE ENTREPRENDRE : Partenaire économique et financier des PME wallonnes
FINANCE.BRUSSELS : Partenaire financier des projets bruxellois
PRÊT COUP DE POUCE : prêt aux entreprises par famille, amis, …
SUBSIDES BRUXELLES
CHÈQUES-ENTREPRISES WALLONIE